Publié le 15 juillet 2025 – Mis à jour le 17 décembre 2025
du 15 janvier 2026 au 16 janvier 2026
Colloque organisé par le laboratoire LLA-Créatis
Dans l’héritage de Pier Paolo Pasolini et de Georges Didi-Huberman, Le silence des Lucioles rappelle l’urgence de repenser ce qui luit. Car la lumière, entendue dans son effectivité première, des relevés satellitaires aux perceptions terrestres, permet de prendre la mesure de l'obscurcissement brutal de certaines régions du monde autant que le sur-éclaircissement d’autres parties de notre habitat commun.
À partir de ces lueurs résiduelles, la création artistique dessine une constellation de formes d’attention dans des territoires soumis aux dérives climatiques, écologiques, sociales ou martiales. Les oeuvres convoquées lors du colloque international, comme lors de l’exposition qui lui est adossée, invitent ainsi à regarder, écouter au-delà du silence et à reconnaître dans chaque lumière — même la plus fragile — la promesse d’un espoir, d’un espace où préserver, penser et agir demeure possible.
Dans le cadre du colloque international, à l'invitation de l’Université Toulouse - Jean Jaurès, de l’Université du trois février à Buenos Aires et de la BIENALSUR, des théoricien.nes de l’art, commissaires, avocat.e.s, curateur.ice.s, prennent position, loin de tout prophétisme alarmant, pour réaffirmer une responsabilité commune : protéger ce qui subsiste, accompagner ce qui vacille et rendre perceptibles les zones aveugles.
En savoir plus.
À partir de ces lueurs résiduelles, la création artistique dessine une constellation de formes d’attention dans des territoires soumis aux dérives climatiques, écologiques, sociales ou martiales. Les oeuvres convoquées lors du colloque international, comme lors de l’exposition qui lui est adossée, invitent ainsi à regarder, écouter au-delà du silence et à reconnaître dans chaque lumière — même la plus fragile — la promesse d’un espoir, d’un espace où préserver, penser et agir demeure possible.
Dans le cadre du colloque international, à l'invitation de l’Université Toulouse - Jean Jaurès, de l’Université du trois février à Buenos Aires et de la BIENALSUR, des théoricien.nes de l’art, commissaires, avocat.e.s, curateur.ice.s, prennent position, loin de tout prophétisme alarmant, pour réaffirmer une responsabilité commune : protéger ce qui subsiste, accompagner ce qui vacille et rendre perceptibles les zones aveugles.
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Contact :
Hélène Virion - helene.virion@univ-tlse2.fr