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L’architecture religieuse du haut Moyen Âge dans le monde franc et ses marges : héritages et transformations. 45e Journées internationales de l’Association Française d’Archéologie Mérovingienne

Publié le 5 juillet 2024 Mis à jour le 17 décembre 2024
du 23 octobre 2025 au 25 octobre 2025

Colloque organisé par le laboratoire TRACES

Fondée en 1979, l’Association Française d’Archéologie Mérovingienne (https://afamassociation.fr/) regroupe plus de 300 membres actifs qui se consacrent à l’étude des vestiges et des problématiques spécifiques à la période mérovingienne, sans négliger l’inscription de leur période de prédilection dans la durée, de l’Antiquité tardive à la période carolingienne.

Depuis sa fondation, l’Association Française d’Archéologie Mérovingienne organise des Journées internationales annuelles en collaboration avec de nombreux partenaires et institutions régionales qui les accueillent. Au cours de ces rencontres, les spécialistes de la période mérovingienne exposent les résultats de leurs recherches, confrontent leurs idées et nouent des liens de confraternité. Organisées chaque année dans une ville différente, ces Journées internationales ont été l’occasion de parcourir la France et quelques pays limitrophes.

L’Association accorde une grande importance à ouvrir sa tribune à un public diversifié : des étudiants de master aux chercheurs universitaires, des archéologues des services et sociétés de fouilles aux chercheurs bénévoles. Les programmes de ces journées sont établis par des comités scientifiques ad hoc, mis sur pied avec les partenaires locaux.

Les 45e Journées internationales de l’Association Française d’Archéologie Mérovingienne qui auront lieu du 23 au 25 octobre 2025 à Toulouse seront consacrées à L’architecture religieuse du haut Moyen Âge dans le monde franc et ses marges : héritages et transformations. Cette thématique fait partie de certaines des problématiques de recherche des organisateurs du colloque qui souhaitent regrouper à Toulouse des chercheurs de tout horizon, archéologues français et européens, afin de réaliser un nouvel état de la question sur ce sujet. En effet, la multiplication des travaux archéologiques réalisés ces dernières années sur des édifices connus ou méconnus dans le cadre de recherches programmées ou d’études préalables à leur restauration nécessite aujourd’hui d’effectuer un nouveau bilan des connaissances et de confronter les données nouvellement acquises sur un vaste espace géographique.

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