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L’UT2J participe à l’organisation d’une Université d’automne en Archéologie !
Du 25 au 27 octobre, le laboratoire TRACES, membre du Défi-clé « Science du Passé », participe à l’organisation de sa première université d’automne dans la région Occitanie. Ouvert aux étudiants de master et aux doctorants en archéologie et sciences associées, ce temps de rencontre et d’échange se veut également un temps de formation hors université. Rencontre avec Benjamin Marquebielle, l’un des deux ingénieurs projet du Défi-clé.
Le Défi-clé « Sciences du Passé », financé par la Région Occitanie et porté par l’Université de Toulouse, a pour but de révéler, étudier, protéger et valoriser le patrimoine archéologique régional, dans le but de promouvoir une recherche fondamentale pluridisciplinaire ainsi que l’essor d’un tourisme culturel de qualité.
Regroupant 16 laboratoires d’Occitanie, il est organisé autour des trois « pôles » que sont Toulouse, Montpellier et Perpignan. Il associe également des partenaires non académiques publics et privés.
« Sciences du Passé » : un défi-clé dynamique
A la direction de ce défi-clé, on retrouve notamment deux toulousains, membres du laboratoire TRACES : Nicolas Valdeyron, co-directeur du Défi-clé, et Benjamin Marquebielle, co-ingénieur projet. Ce dernier explique l’importance de l’université d’automne au sein de « Sciences du Passé » :
L’université d’automne : un road-trip culturel 100% gratuit
Pour cette première université d’automne, c’est le terrain montpelliérain qui est mis à l’honneur. Huit personnes encadreront les participants : Réjane Roure, Nicolas Valdeyron, Robin Furestier, Benjamin Marquebielle, Muriel Richard, Sophie Grégoire et Elsa Rocca.
Le principe de l’université d’automne est très simple : en trois jours, trois lieux. Pourtant, le programme est très riche !
Les étudiants et doctorants visiteront 6 sites historiques et 5 musées associés.
L’idée est d’une part de leur faire (re)découvrir ce patrimoine archéologique et, d’autre part, de les faire s’interroger sur les solutions de mise en valeur et de diffusion des connaissances auprès du public. Ils auront ainsi accès, par petits groupes, aux réserves de ces musées, inaccessibles au grand public pour découvrir la gestion spécifique de ces collections patrimoniales et les choix muséographiques qui en découlent. Et tout cela, gratuitement !
Dynamiser la formation des étudiants en archéologie
L’université d’automne est un complément aux offres de formation existantes pour les étudiants de masters et les doctorants en archéologie et sciences associées. Les objectifs sont variés et dessinent deux grandes perspectives.
D’un côté, l’université d’automne doit favoriser les rencontres pour que chacun puisse se créer un réseau professionnel. Il faut donc ménager des temps d’échanges entre les visites pour que chacun puisse faire connaître l’objet de ses travaux et ses projets.
De l’autre côté, l’université d’automne doit lier le savoir à un savoir-faire pour que chacun puisse valoriser ses compétences transversales. Il faut donc proposer des visites participatives pour que chacun soit actif dans son apprentissage.
Les organisateurs ont donc prévu des temps de discussion et d’échange, entre participants et avec des professionnels de l’archéologie à la fin de chaque journée, en lien avec les différentes visites.
Benjamin Marquebielle indique avec humour que les participants vont autant s’amuser que travailler :
A vos agendas !
Victime de son succès, cette première université d’autonome est déjà complète ! Si les organisateurs se réjouissent que toutes les places disponibles soient prises, ils envisagent d’agrandir les effectifs pour les années suivantes.
Benjamin Marquebielle vous donne donc rendez-vous :
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