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Dernière étape pour le projet TransMigrArts !
Publié le 4 mars 2025 – Mis à jour le 4 mars 2025
Le projet, destiné à favoriser un meilleur accompagnement des migrants grâce aux arts, entre désormais dans sa phase de finalisation.
TransMigrArts - Transforming Migration by Arts- est l’un des 74 lauréats RISE (Research and Innovation Staff Exchange (RISE) du programme d’Action Marie Skłodowska-Curie de la Commission européenne. Le projet vise à encourager des collaborations internationales et intersectorielles à travers des échanges de personnel de recherche et innovation, ainsi que le partage de savoirs et d'idées de la recherche vers le marché (et inversement) pour l'avancement de la science et le développement de l'innovation. Il s’agit du premier projet RISE porté par un laboratoire de l’Université Toulouse – Jean Jaurès. Une belle réussite pour notre établissement puisqu’il se classe en 3ème position parmi les 74 lauréats sur 400 dossiers déposés avec à la clé un financement européen de 2 185 000 euros. Porté par le laboratoire LLA CREATIS, autour de Monique Martinez, TransMigrArts s’appuie sur un large réseau de collaborations internationales regroupant aussi bien des artistes, que des organismes d’enseignement supérieur et de recherche en passant par des entreprises, pour travailler sur le sentiment de vulnérabilité des personnes migrantes via des ateliers artistiques.
Pendant 5 ans, TransMigrArts a permis d’observer, évaluer, modéliser et animer des ateliers artistiques (théâtre, danse, clowns, musique et performances) pour les migrants en situation de vulnérabilité. Au cœur de la réflexion la recherche innovation/création appliquée dans les entreprises culturelles .Parmi les derniers chantiers à venir de TransMigrArts viendront une université d’été en juillet 2025 à Madrid ouverte à tous ceux qui s’y intéressent et la publication d’ouvrages inédits sur la recherche création appliquée en espagnol, français et anglais. Car l’objectif ultime de TransMigrArts est de transmettre ses conclusions aux acteurs gouvernementaux ou non gouvernementaux en lien avec les migrants. Pour les sensibiliser aux modes d’existence des personnes qui choisissent ou pas de quitter leur pays d’origine. Ces résultats seront transférables à d'autres populations vulnérables, telles que les victimes de la guerre, les femmes, les enfants, les personnes âgées, les handicapés, les malades ou les personnes vivant dans la pauvreté, afin de favoriser leur bien-être ou de réduire leur vulnérabilité. Un vrai rôle de salut public donc !
Associant entre autres l’Espagne, le Danemark, la Colombie où l’art n’est pas dissocié des problèmes sociaux, les échanges de personnel ont fédéré un réseau de chercheurs, d'artistes et d'experts de 14 structures européennes et latino-américaines : universités, laboratoires de recherche, associations culturelles et entreprises. En partenariat avec notamment les universités d'Antioquia, d'Aarhus, Francisco José de Caldas de Bogota, de Grenade, le Centro Universitario de Artes TAI de Madrid, les entreprises culturelles Aparté théâtre en entreprise, Proyecto ÑAQUE, Remiendo Teatro, les associations « Les Anachroniques », « Nuevo Teatro Fronterizo » et Omar Olvera, auteur de comédie musicale, la compagnie BATACLOWN ou encore le Conseil supérieur de la recherche scientifique d’Espagne. Au total, plus de cent cinquante personnes ont participé au projet.
Suivre l'actualité de TransMigrArts
Photo :
David Romero, Université d’Antioquia
Pendant 5 ans, TransMigrArts a permis d’observer, évaluer, modéliser et animer des ateliers artistiques (théâtre, danse, clowns, musique et performances) pour les migrants en situation de vulnérabilité. Au cœur de la réflexion la recherche innovation/création appliquée dans les entreprises culturelles .Parmi les derniers chantiers à venir de TransMigrArts viendront une université d’été en juillet 2025 à Madrid ouverte à tous ceux qui s’y intéressent et la publication d’ouvrages inédits sur la recherche création appliquée en espagnol, français et anglais. Car l’objectif ultime de TransMigrArts est de transmettre ses conclusions aux acteurs gouvernementaux ou non gouvernementaux en lien avec les migrants. Pour les sensibiliser aux modes d’existence des personnes qui choisissent ou pas de quitter leur pays d’origine. Ces résultats seront transférables à d'autres populations vulnérables, telles que les victimes de la guerre, les femmes, les enfants, les personnes âgées, les handicapés, les malades ou les personnes vivant dans la pauvreté, afin de favoriser leur bien-être ou de réduire leur vulnérabilité. Un vrai rôle de salut public donc !
Aller plus loin avec TransMigrArts
Associant entre autres l’Espagne, le Danemark, la Colombie où l’art n’est pas dissocié des problèmes sociaux, les échanges de personnel ont fédéré un réseau de chercheurs, d'artistes et d'experts de 14 structures européennes et latino-américaines : universités, laboratoires de recherche, associations culturelles et entreprises. En partenariat avec notamment les universités d'Antioquia, d'Aarhus, Francisco José de Caldas de Bogota, de Grenade, le Centro Universitario de Artes TAI de Madrid, les entreprises culturelles Aparté théâtre en entreprise, Proyecto ÑAQUE, Remiendo Teatro, les associations « Les Anachroniques », « Nuevo Teatro Fronterizo » et Omar Olvera, auteur de comédie musicale, la compagnie BATACLOWN ou encore le Conseil supérieur de la recherche scientifique d’Espagne. Au total, plus de cent cinquante personnes ont participé au projet.
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Photo :
David Romero, Université d’Antioquia