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Le développement durable à l'UT2J : l'économe de flux
Publié le 21 mai 2025 – Mis à jour le 21 mai 2025
Un bâtiment universitaire, c’est parfois des dizaines de milliers de m² à chauffer, éclairer, ventiler… Et autant de données à surveiller pour consommer juste ce qu’il faut. C'est la mission de l'économe de flux. Présentation.
À l’UT2J, un acteur discret mais stratégique a rejoint les rangs en début d’année universitaire dernière : Pascal Dubois, économe de flux.
Sa mission ? Traquer les gaspillages, identifier les économies possibles, et accompagner l’université vers une gestion plus sobre de l’énergie… et de l’eau.
Dans cette première phase, Pascal se concentre sur un levier fondamental : la mesure.
- Installation de compteurs
- Création de tableaux de bord
- Suivi des consommations en temps réel
Pour agir, il faut d’abord comprendre. Et pour comprendre, il faut mesurer.
La suite ?
Réduire les consommations, prescrire des travaux pour des bâtiments plus efficaces, développer la production d’énergie décarbonée (panneaux photovoltaïques)… Tout cela dans le respect du décret tertiaire, qui fixe un objectif ambitieux :
-40% de consommation en moins d’ici 2030.
-50% d’ici 2040.
-60% d’ici 2050.
Moins de gaspillage, plus d’intelligence collective : à travers le travail de Pascal, c’est toute l’université qui progresse vers la transition.
Sa mission ? Traquer les gaspillages, identifier les économies possibles, et accompagner l’université vers une gestion plus sobre de l’énergie… et de l’eau.
Dans cette première phase, Pascal se concentre sur un levier fondamental : la mesure.
- Installation de compteurs
- Création de tableaux de bord
- Suivi des consommations en temps réel
Pour agir, il faut d’abord comprendre. Et pour comprendre, il faut mesurer.
La suite ?
Réduire les consommations, prescrire des travaux pour des bâtiments plus efficaces, développer la production d’énergie décarbonée (panneaux photovoltaïques)… Tout cela dans le respect du décret tertiaire, qui fixe un objectif ambitieux :
-40% de consommation en moins d’ici 2030.
-50% d’ici 2040.
-60% d’ici 2050.
Moins de gaspillage, plus d’intelligence collective : à travers le travail de Pascal, c’est toute l’université qui progresse vers la transition.